Cette fois, c’est l’hiver !

La neige est enfin arrivée et nous a permis de chausser les raquettes pour un petit tour au dessus du Sappey.

Un bon bol d’air frais avant une chaude semaine au bord de la Méditerranée !

 

Nom de Zeus Marty !!

Grenoble a été labellisée métropole French Tech grâce à son dynamisme et son innovation dans les domaines du numérique.
Et ça se voit…

Camouflage !

Ah… le bon air de la montagne… par contre dans la vallée, c’est moins top !

Normalement, au bout de cette rue se trouvent des montagnes. Elles portent depuis quelques jours le nouveau camouflage « particules fines mars 2014 ». Un très chouette modèle !

Vivement la pluie que toutes ces particules qui nous obstruent la vue et les voies respiratoires puissent se faire emprisonner par les nappes phréatiques.

C’est bêêêêau

A Grenoble, pas besoin d’aller jusque dans les alpages pour voir des moutons. Il suffit de lever les yeux. Partout,  le street artiste thesheepest encolle les façades. Quelques exemples…

A deux doigts !

Je vous laisse deviner ce que cet hurluberlu tente de faire…

On n’est jamais trop prudent !

A Grenoble, la sécurité routière est quelque chose avec laquelle on ne plaisante pas. J’èspère que vous aurez compris que cette rue est à sens unique !

Grenoblois pastime

J’aime ici vous faire partager les mœurs folkloriques en matière de sport des endroits où je passe (comme ici, souvenez-vous).
Cette fois-ci aussi, il s’agit d’un sport très populaire outre-Atlantique et qui se joue un bout de bois entre les mains, mais nettement plus viril : le hockey sur glace.

Les Bruleurs de loups, au regard des flyers distribués, c’est du viril habillé en peau de lapin (dont un borgne) qui sortent de geôles puantes… ça va saigner !!! En fait, pas vraiment… ils sont normaux pour des hockeyeurs, aucun n’est entré sur la glace avec son fléau  pour péter mâchoires et tibias. Ils sont quand même rentrés sur la patinoire par une tête de loup gonflable…

Il s’agissait du deuxième match de playoff (1/8 de finale) contre les Rapaces de Gap, le premier à 3 victoires passera au tour suivant. Menés 3-0 au milieu du second tiers-temps (un match, c’est 3 fois 20 minutes), les bruleurs de loup ont su revenir à 3-2 juste avant la pause. L’égalisation aura lieu à 6 minutes de la fin du match, déclenchant les vivats d’un public plutôt calme. Cette égalisation donne lieu à une prolongation : on rejoue une période avec un joueur de moins de chaque côté histoire de créer des espaces et qui s’arrête dès qu’une des deux équipe marque. Et  c’est Gap qui a su son sang froid garder pour marquer après seulement 3 minutes, pour l’emporter 4-3. La veille, les deux équipes s’étaient quittées après prolongation sur le score de 4-3 pour Grenoble…

Oulàlà c’est serré !

Autobots, re-con !

Je vous avais parlé de l’invasion extraterrestre en cours à Grenoble. Mais je m’étais trompé.

En réalité, il ne s’agit pas de petits bonhommes verts comme je le pensais mais bel et bien d’habitants de la planète Cybertron. Généralement, les « Transformers » s’appliquent pour avoir un peu de classe et que l’on ne les soupçonne pas : une camaro, un camion de pompier, etc, etc… Ceux de Grenoble ne sont pas aussi doués dans l’art du camouflage comme l’atteste cette photo d’un d’entre eux grimé en immeuble.

Gardez les yeux ouverts, ils sont parmi nous !!!

Mars attack !!!

Cette fois c’est sûr, les extraterrestres existent, nous envahissent et ils ont posé leur soucoupe à Grenoble !!!

Ah, non, au temps pour moi : on me signale qu’il s’agit d’une église à l’architecture un brin spéciale…

Concert du nouvel an

Malheureusement, nous n’étions pas à Vienne cette année mais Vienne est un peu venue à nous.

Nous avons pu obtenir des billets pour la cérémonie des vœux de la Mairie de Grenoble, en présence de Mme le Ministre ( …j’adore ce que vous faites… embauchez moi !!!). Le discours du maire qui ne se représentera pas après près de 20 ans en poste et qui était très content de tout ce qu’il avait accompli fût on ne peut plus émouvant. Bon, jusqu’ici ça fait pas vraiment rêver. Mais bon, c’était pas vraiment pour ça qu’on était venu faut dire!

Ce qui nous a fait déplacer nos séants jusqu’au Palais des Sports était la venue de l’Orchestre Louvre-Grenoble dirigé par Marc Minokowski pour une soirée uniquement consacrée à Strauss, avec la participation exceptionnelle de la soprano Lenneke Ruiten. Entre chaque pièce, le maître prenait la parole pour aider le public à décrypter ce qu’il allait entendre (structure musicale, repères historiques, ce qui se passe dans cette opérette et pourquoi la dame va se mettre à crier…).

N’étant pas très calé en musique classique, ce format était totalement adapté et je me suis régalé. Seul bémol : avoir été assis un peu trop près du cameraman qui, plus habitué à suivre balles et ballons, avait bien du mal à trouver qui jouait (sauf la chanteuse, ça il a bien capté) et passait son temps à communiquer avec la régie pour savoir que filmer…